
Ah, Villeneuve. Je remonte sa filmographie dans le temps et j’étais déjà surpris avec Prisoners de l’affirmation de sa griffe. Sicario apporte sa pièce au continuum.
Ah, Villeneuve. Je remonte sa filmographie dans le temps et j’étais déjà surpris avec Prisoners de l’affirmation de sa griffe. Sicario apporte sa pièce au continuum.
Depardieu survit dans la continuité de mes explorations cinématographiques ; je coupe le reste de la semaine avec des découvertes impromptues chez Villeneuve et Fincher, en passant par le médiocre Blanche Neige.
Entre Villeneuve, que j’admire depuis Premier Contact, et Blade Runner dont je n’ai su me prémunir du culte contagieux, c’était un peu un duel… de cinéma. Un enjeu incertain, surtout. Pas question que la […]
Je m’y suis pris tard, mais c’est fait : j’ai vu Arrival. Étant fasciné par les langues et le cinéma et particulièrement friand de science-fiction, il était exclus que je passe à côté.