
La douleur lucide réside en mon auspice Sa saveur acide flétrissant mon jadis Frêles et fébriles éphémères de ma nature outrancière Caprices incompris de me savoir couleur Calices ombrés de mon hostile […]
La douleur lucide réside en mon auspice Sa saveur acide flétrissant mon jadis Frêles et fébriles éphémères de ma nature outrancière Caprices incompris de me savoir couleur Calices ombrés de mon hostile […]
Des bouffées d’eau barrent de dignes ballerines Ce ciel si sérieux qui serait sinon vide C’est le temps qui passe, et l’attente qui reste C’est le sang dans les joues, qui l’encombre […]
Aujourd’hui, un poème qui sort un peu de l’ordinaire puisque je l’ai rédigé dans ma langue construite. Aussi ne rime-t-il et n’est-il vraiment poétique qu’en version originale. J’espère que vous ne m’en […]
J’apprécie d’ordinaire que mes poèmes se laissent allonger plus, mais celui-ci a insisté pour garder la taille que vous pouvez lui voir. Je n’ai pas insisté. Je me trouve dans une forêt […]
Serais-je un mot dans une langue étrangère ? N’aurais-je de sens que tout son contraire ? Serais-je la grammaire d’un idiome perdu ? Ou bien cette lettre à la science éperdue ? Suis-je, en fait, une […]
Mes yeux sont perdus, sur cette nouvelle orbite Où les lignes sont courbes, et l’inerte est en fuite Les lunes irradient leur noirceur fourbe La lumière jaillit d’une terre gazeuse Le ciel […]
Et si les premiers mots d’un auteur n’étaient pas si différents de ce qu’on entend plus généralement par « premiers mots » ? Ce poème est en alexandrins. Un immense merci pour votre lecture !
Poème de rêve. Au fait, pour une meilleure lecture de mes poèmes, ne prononcez pas les caducs.
Le printemps est là, dit-on.
Les tourments d’être de bon conseil…