Lundi Martin Roumagnac Ce film manque complètement du “peps” qu’on pouvait légitimement attendre de la reprise du cinéma dans l’après-guerre, surtout avec Gabin et Dietrich au générique. C’est finalement la même chose […]
Hebdo – semaine 7, 2016
Lundi L’Imposteur En bon cinéphile, on ne peut pas parler de ce film sans une référence énorme à son contexte historique : réalisé en 1944 aux Etats-Unis par le Français Julien Duvivier, et […]
Hebdo – semaine 6, 2016
Lundi La Péniche de l’amour Attention : film américain avec Jean Gabin. Être averti de la nature peu commune de ce film ne peut pas laisser froid. C’est une grande découverte que d’apprendre […]
Hebdo – semaine 4, 2016
Lundi Remorques Un film qu’on peut difficilement ne pas comparer à l’apogée d’une montée en puissance d’avant-guerre dans les rôles cumulant technique et romance dans lesquels excelle Jean Gabin. De beaux dialogues […]
Hebdo – semaine 3, 2016

Lundi Le Jour se lève On pourrait presque dire que c’est dommage que le film n’ait pas fait le choix de sortir des sentiers battus du cinéma français de l’époque, car il […]
Hebdo – semaine 2, 2016
Lundi La Bête humaine Une adaptation de Zola qui se devait d’être à la hauteur, et qui est finalement portée au pinacle de façon tout à fait normale par la prestation de […]
Hebdo – semaine 51, 2015
Lundi Le Quai des brumes Vus à la suite, la myriade de films français exploitant le caractère du personnage récurrent de Jean Gabin deviennent lassants et il faut redoubler d’objectivité et d’inventivité […]
Hebdo – semaine 50, 2015
Lundi Pépé le Moko Film resté dans les mémoires, il a un intérêt plus historique que réellement lié à son scénario. Un témoin fascinant ce ce que devait être Alger à cette […]
Hebdo – semaine 49, 2015
Lundi Gueule d’amour Ce film est une évolution – encore une – dans le cinéma français, qui n’hésite pas à montrer la cruauté de l’amour. Un projet audacieux porté au pinacle par […]
Hebdo – semaine 47, 2015

Lundi La grande Illusion Avec une pertinence et une audace qu’on verrait plutôt à notre époque, le film exploite toute l’amertume et la naïveté grossière de Jean Gabin pour mettre en valeur […]