Quelle est la différence entre latin classique et latin vulgaire ?


Quelle est cette distinction entre latin classique et latin vulgaire ? Quelle est l’histoire derrière toutes les variétés du latin, et laquelle est-elle réellement l’ancêtre du français ? Voici un article pour y répondre.

Les variétés du latin dans l'Histoire (y compris le latin classique et le latin vulgaire)

SOMMAIRE

  1. Avant Rome : du proto-italique au latin archaïque (-1 800 à -753)
  2. Royauté puis République romaine : du latin archaïque aux latins classique et vulgaire (de -753 au 1ᵉʳ siècle av. J.-C.)
  3. Des deux latins de l’Empire romain vers le latin tardif et les langues romanes (du 1ᵉʳ siècle av. J.-C. au 6ᵉ siècle)
  4. Après Rome : le latin ecclésiastique et le latin médiéval (6ᵉ – 14ᵉ siècles)
  5. La Renaissance : le latin humaniste et le retour au classique (14ᵉ – 16ᵉ siècle)
  6. Ères moderne et contemporaine : néolatin puis latin contemporain (16ᵉ siècle à aujourd’hui)
  7. Conclusion
  8. Sources

Avant Rome : du proto-italique au latin archaïque (-1 800 à -753)

Les Italiques, les Celtes et les Germains sont trois peuples indo-européens issus des mêmes vagues de migration, entamées vers -2 700 depuis l’actuel ouest de la Russie. Entre -1 800 et -1 300, ils deviennent culturellement bien distincts les uns des autres, et leurs langues respectives aussi. Les Italiques parlaient par exemple ce qu’on appelle aujourd’hui le proto-italique (« proto » car aucune trace n’en est restée).

Vers -1 000, les tribus et les langues italiques, d’abord présentes au Nord des Alpes, se sont établies en Italie (d’où leur nom). Celle qui peuple le Latium en particulier devient très influente, et d’autres se rallient à elle pour se libérer des Étrusques, un peuple autochtone non-indo-européen. Les « Latins », unifiant les peuples italiques, fondent ainsi la civilisation romaine au 8ᵉ siècle av. J.-C. Leur culture est bientôt adoptée par les régions voisines à travers l’Italie (qu’elles soient italiques, étrusques ou encore grecques), et avec elle leur langue : le vieux latin, ou latin archaïque, attesté pour la première fois au 7ᵉ (ou 6e) siècle av. J.-C. avec la fibule de Préneste, et au 6ᵉ siècle av. J.-C. avec l’inscription de Duenos.

Dans l’ordre ci-dessous, on a l’inscription originale de la fibule de Préneste en vieil alphabet italique, sa transcription (attention, ça se lit de droite à gauche !), sa traduction en latin classique, puis en français.

𐌠𐌏𐌉𐌔𐌀𐌌𐌖𐌍 : 𐌃𐌄𐌊𐌀𐌇𐌅 : 𐌄𐌇𐌅 : 𐌃𐌄𐌌 : 𐌔𐌏𐌉𐌍𐌀𐌌

IOISAMUN : DEKAHF : EHF : DEM : SOINAM
(MANIOS : MED : FHE : FHAKED : NUMASIOI)

MANIVS ME FECIT NVMERIO

Manius m’a faite pour Numérius

Le latin archaïque n’est donc pas encore le latin qu’on connaît et ses locuteurs ne se comptent qu’en milliers. On peut néanmoins en reconnaître les prémices si l’on y regarde de près.

Du proto-indo-européen vers le latin archaïque

Royauté puis République romaine : du latin archaïque aux latins classique et vulgaire (de -753 au 1ᵉʳ siècle av. J.-C.)

Le latin change relativement peu sous l’unité de la Royauté romaine (-753 à -509) puis de la République (-509 à 27). Les échanges commerciaux et le service militaire, notamment, amènent une stabilité politique et culturelle durable qui est reflétée par la langue.

L'évolution des diphtongues du latin archaïque au latin classique

Parmi quelques changements importants qu’il connut dans l’intervalle, on peut citer la réduction de nombreuses diphtongues à des voyelles longues (schéma ci-contre) ou le passage du son S à R entre voyelles, qui le rendent déjà beaucoup plus familier (d’où numasioi > numerio d’après la fibule de Préneste, ou iouesāt > jūrat d’après l’inscription de Duenos). Le mot duenos, quant à lui, est l’ancêtre de bonus (d’où « bon » en français).

Bien d’autres transformations eurent lieu en sept siècles (et pas seulement au niveau de la prononciation), mais la langue du début de la civilisation romaine était encore compréhensible pour les érudits de la fin de la République.

À cette période néanmoins, les choses commencent de changer. Au 1er siècle av. J.-C., on entre dans une période de nostalgie pour les penseurs romains, qui voient des signes de décadence dans les modifications de la culture et de la langue latine. Un mouvement prescriptiviste s’élève pour la codifier, l’uniformiser et la préserver.

Les mesures conservatrices qu’ils dictent créent alors une variante normée du latin, dissociée du latin du peuple qui continue d’évoluer de son côté. Le premier est ce qu’on appelle le latin classique, registre prestigieux parlé notamment par César, Virgile et Cicéron et qui est ce qu’on entend généralement par « latin » tout court. Directement issu du latin écrit des grands auteurs, il était le propre des classes supérieures (d’où « classique »). Le second, avant tout une langue orale, était associé aux classes sociales inférieures, et c’est pourquoi on le désignait déjà comme « vulgaire » (vulgaris) de manière péjorative à cette période. Cette cohabitation de deux variantes d’une langue sur un territoire donné s’appelle la diglossie, et va marquer l’Empire romain pendant toute son existence.

La séparation du latin classique et du latin vulgaire à partir du latin archaïque

Des deux latins de l’Empire romain vers le latin tardif et les langues romanes (du 1ᵉʳ siècle av. J.-C. au 6ᵉ siècle)

L’Appendix Probi, daté du 4e siècle, est un document fascinant qui témoigne de certains changements qui se produisaient en latin et que les grammairiens tentaient de décourager :

  • speculum non speclum
  • columna non colomna
  • calida non calda
  • auris non oricla

C’est-à-dire qu’on « devait » écrire et prononcer speculum au lieu de speclum, etc. À gauche, on a le mot prescrit, et à droite l’usage populaire dénoncé par l’auteur. Autrement dit, à gauche se trouve le latin classique, et à droite le latin vulgaire. C’est une ressource précieuse, ce dernier n’étant normalement pas écrit.

Des pages de l'Appendix Probi
Voyez cet article pour une liste plus complète des prescriptions de l’Appendix Probi.

Il est intéressant de remarquer que la situation du latin au début de notre ère est comparable à celle du français de nos jours. Dans les deux cas, la langue écrite a été codifiée et plus ou moins imposée sur le territoire (au 1er siècle av. J.-C. à Rome et au 16e siècle en France), créant une fracture entre la variante élitiste, conservatrice et majoritairement écrite perçue comme « correcte », et la langue populaire, progressiste et majoritairement orale jugée « incorrecte ». En latin antique comme en français après la Renaissance, les innovations et la diversité du langage sont vues comme les symptômes, voire les causes d’une dégradation culturelle et d’une chute de l’alphabétisme.

À Rome, la langue des élites et celle du peuple entament alors une marche en parallèle de plus de 600 ans. Car malgré le travail des grammairiens, le latin classique (minoritaire) continua de changer, empruntant d’ailleurs beaucoup au latin vulgaire (majoritaire) de sorte que les deux restèrent mutuellement intelligibles. Les écrivains utilisèrent de plus en plus les deux langues, se disputant laquelle était plus légitime*. Le latin classique donne ainsi lieu à ce qu’on appelle aujourd’hui le latin tardif, une langue toujours formelle et littéraire mais multiforme, tiraillée entre la norme et la langue d’usage. Il existe du 3e au 6e siècle environ et influencera notamment la Vulgate. En parallèle, on peut observer le début du développement du latin ecclésiastique.

* Là encore, on peut faire la comparaison avec le français formel du 17e siècle qui est devenu celui d’aujourd’hui en s’adaptant peu à peu à la langue populaire, tandis que les écrivains faisaient le choix de représenter (ou non) le « français vulgaire » dans leur ouvrage.

La séparation, puis la marche en parallèle du latin écrit et du latin parlé
Le latin parlé (“spoken”) et le latin écrit (“written”) ont en fait entamé leur divergence avant le 3e siècle av. J.-C., mais il a fallu du temps – d’abord pour que les Romains en prennent conscience, puis pour qu’ils y voient un problème. Le latin écrit s’est adapté au latin parlé avec l’affaiblissement de l’Empire, et ce jusqu’à ce que les langues romanes issues de la langue parlée accèdent à leur tour au rang de langues écrites (“written Romance”).

Quant au latin vulgaire, il arrive à un tournant avec la chute de l’empire romain d’Occident en 480. Dissociées de ce fort pouvoir central, les ex-provinces romaines s’ouvrent pour de bon aux variations régionales, donnant définitivement libre cours aux divergences. La langue populaire se dialectalise, devenant de moins en moins intelligible d’une région à l’autre. Au 8e siècle, on commencera de considérer ces dialectes comme des langues à part entière ; ils sont en train de devenir le vieux français, le vieil italien, le vieil espagnol, etc. Autant de langues dont le latin vulgaire est effectivement l’ancêtre… mais pas le latin classique, qui est pourtant celui qu’on connaît le mieux, et qu’on appelle « latin » tout court.

La raison à cet apparent paradoxe est le statut littéraire du latin classique, dont un corpus immense nous est parvenu. Utilisé par des grammairiens, des historiens et des empereurs, il est devenu pour nous la langue de l’Empire romain. Pourtant c’était une variété du latin minoritaire et inconnue (ou presque) du peuple de l’Empire. Or c’est justement la langue populaire et orale, dont il ne nous reste presqu’aucune trace, qui a pu évoluer sans entrave jusqu’à devenir les langues romanes. Voilà pourquoi des documents comme l’Appendix Probi sont si précieux : ils sont des traces, quoique fragmentaires, de ce maillon manquant. Pour le reste, on déduit : quand les linguistes reconstruisent ce qui se trouve entre le latin vulgaire et les langues romanes, ils parlent de proto-roman.

Les variétés du latin après l'Antiquité

Tandis que le latin vulgaire devient les différentes langues romanes, le latin tardif assoit sa place de langue écrite en Europe, ce qui signe la séparation définitive du latin classique et du latin vulgaire. Mais ce n’est pas la fin de leur histoire !

Après Rome : le latin ecclésiastique et le latin médiéval (6ᵉ – 14ᵉ siècles)

Après la chute de l’Empire romain d’Occident, il ne reste de Rome que l’Empire byzantin (Empire romain d’Orient) dont la langue principale est le grec, et où le latin se perd rapidement. Ce dernier n’est donc bientôt plus la langue de Rome, et n’a plus de raison de s’attacher à son héritage.

De plus, si c’est toujours une langue formelle, ce n’est plus une première langue. Les rares personnes qui en ont besoin pour remplir leur fonction sociale l’acquièrent maintenant en plus de leur langue maternelle (qu’il s’agisse d’une descendante du latin vulgaire, comme le français, ou d’une autre, comme l’allemand), car c’est désormais en Europe la langue dédiée de la science, de la littérature et de la loi, ainsi qu’une langue liturgique avec la montée du christianisme. Ses usagers l’hybrident librement avec leur langue maternelle, donnant au latin tardif la multiplicité qui était tant redoutée des grammairiens romains, et à laquelle les réformes carolingiennes mettront un frein aux 8e et 9e siècles.

Le latin transitionne ainsi vers le latin médiéval et le latin ecclésiastique. Les deux se rencontrent souvent et sont d’abord peu, voire pas distingués. Cependant le premier tombe largement sous la coupe des langues germaniques, tandis que le second est plus conservateur et davantage influencé par le grec.

Inscription imprimée en latin médiéval
L’inscription de Prüfening, daté de 1119, est une impression sur argile (plus de 300 ans avant Gutenberg) écrite en latin médiéval.

La Renaissance : le latin humaniste et le retour au classique (14ᵉ – 16ᵉ siècle)

Pour l’instant, on n’a fait que s’éloigner du latin antique, qui paraît maintenant bien obsolète. Cependant la Renaissance arrive et son credo va justement être de revenir aux valeurs de l’Antiquité.

À cette époque, la diversité d’influences et d’applications du latin le rend moins uniforme que jamais à travers l’Europe. Certains érudits le déplorent : le latin médiéval est censé être la langue commune des intellectuels, pourtant elle ne leur permet plus de se comprendre d’un pays à l’autre. Ces inquiétudes se cristallisent aux 14e et 15e siècles, lorsque les auteurs de la Renaissance se donnent pour mission de « purifier » le latin de siècles de barbarismes. C’est donc une époque de renaissance pour la langue classique également : on parle de latin humaniste, une homogénéisation et un « retour aux sources » du latin (et donc un retour au latin classique) initié par Pétrarque et dû en grande partie à Érasme.

Les variétés du latin à la Renaissance

Dans cette mouvance « antiquophile », le français (qui est alors le moyen français) est aussi relatinisé et on insère des lettres muettes pour rappeler les prestigieuses origines romaines de la langue de France : le mot « doit » devient « doigt » pour rappeler le latin digitus, et « peis/pois » devient « poids » pour rappeler pondus (bien que ce mot dérive en réalité de pensum, un mot qui, même en latin, n’avait jamais eu de D). Là aussi, c’est le latin classique et son conservatisme qui servent de modèle.

Le latin humaniste présente toutefois un inconvénient de taille à une époque de grandes découvertes et d’importantes innovations. La politique, la justice, la médecine et la science en plein essor ont besoin d’un colossal enrichissement de leur vocabulaire. Or le latin de la Renaissance, qui y est voué, interdit qu’on altère de nouveau le parler de Cicéron et de Virgile. On vient de laborieusement le nettoyer après des siècles d’innovations sauvages – ça ne va pas déjà recommencer ?

La Renaissance du latin est dans l’air de son temps car elle tient d’une volonté de le moderniser et d’en faire la langue véhiculaire des penseurs de son époque (et de la diplomatie dans une plus faible mesure). Mais d’un autre côté, son conservatisme n’est pas compatible avec l’ère de progrès qu’est l’après-Renaissance. Le latin humaniste sera une entreprise couronnée de succès, mais aussi une réforme trop stricte et peu durable qui se trouvera restreinte à la littérature des 14e et 15e siècles.

Ères moderne et contemporaine : néolatin puis latin contemporain (16ᵉ siècle à aujourd’hui)

Au 16e siècle, propulsé dans l’ère moderne par l’imprimerie, le latin est devenu le néolatin, à savoir une forme progressiste, assouplie et enrichie du latin humaniste. Cet enrichissement sera directement transmis aux langues d’Europe par le biais d’emprunts savants qui participeront grandement à la formation du vocabulaire scientifique international. Un exemple parmi tant d’autres est « cheville », hérité du latin vulgaire *cavicla, qui s’adjoint au terme « clavicule », de même origine mais réemprunté au latin classique clavicula (d’autres sont plus internationaux, comme « stéthoscope » ou « cumulonimbus »). La langue de l’apogée romaine, un millénaire et demi après le début de son déclin, influence ainsi pour la dernière fois les grandes langues du monde.

Avec la montée des nations, certaines langues européennes accèdent bientôt au prestige académique qui était jusqu’ici l’apanage du latin. Ce dernier perd alors peu à peu sa place au profit de l’italien, de l’allemand, du français… puis plus tard de l’anglais.

Depuis le 19e siècle, on ne parle plus de néolatin mais de latin contemporain. Celui-ci s’est réduit à peu de choses et n’est plus vraiment une langue à proprement parler puisqu’il se retrouve figé dans des devises (fluctuat nec mergitur, in varietate concordia, annuit cœptis, etc.), des expressions ou des termes spécialisés (habeas corpus, casus belli… ou encore e.g., i.e., AM et PM en anglais), en plus de systèmes scientifiques dédiés comme celui de Linné en biologie ou la désignation de Bayer en astronomie par exemple.

Quant au latin ecclésiastique, toujours en usage et quasiment inchangé au cours de son histoire, il faudra attendre la deuxième moitié du 19e siècle pour que la prononciation italienne (dûe à la place de Rome dans la chrétienté) devienne standard (l’usage liturgique de la langue ne cessant toutefois de décliner). Ainsi la locution vēnī vīdī vīcī peut se prononcer :

  • « véni vidi vissi » ( /ve.ni vi.di vi.si/ ) dans la prononciation française,
  • « véni vidi vitchi » ( /ˈve.ni ˈvi.di ˈvi.t͡ʃi/ ) en latin ecclésiastique,
  • et « wéénii wiidii wiikii » ( /ˈweːniː ˈwiːdiː ˈwiːkiː/ ) en latin classique.
Les variétés du latin à l'époque moderne, puis contemporaine

Conclusion

On a l’habitude de parler de « latin » comme si c’était une langue unique et homogène. Cette vision nous vient sûrement du fait que certains voudraient qu’il en aille de même pour le français. Pourtant rien n’est plus éloigné de la vérité. Même entre le 8e et le 1er siècle av. J.-C. (une période stable pour Rome), le latin avait changé, si bien qu’on distingue le latin archaïque du latin classique. Quant à ce dernier, qu’on voit comme la langue romaine car c’était celle des puissants et des intellectuels, c’était une langue minoritaire, séparée du latin vulgaire parlé par le peuple. Bien qu’intimement liées, elles ont continué de diverger, le premier donnant le latin ecclésiastique et le latin tardif (puis médiéval), et l’autre devenant les vieilles langues romanes. La Renaissance a vu le retour en grâce de la langue classique sous la forme du latin humaniste réservé à la littérature, bientôt devenu le néolatin pour répondre aux nouveaux besoins (en science notamment), et qui a donné beaucoup de vocabulaire à base classique aux grandes langues contemporaines.

Comme souvent, en s’intéressant au langage de près, on découvre sa diversité. Même le latin, langue révérée pendant deux millénaires à travers l’Europe et le monde pour ses qualités de langue scientifique et littéraire, n’échappe pas à la règle : fragmenté selon des facteurs aussi bien géographiques que sociaux ou temporels tout au long de son existence, il s’agit d’une langue multiple et méconnue, qu’on ne connaît généralement qu’en surface.

Sources

  1. Lloyd, Paul M. “ON THE DEFINITION OF ‘VULGAR LATIN’: The Eternal Return.” Neuphilologische Mitteilungen 80, no. 2 (1979): 110–22. http://www.jstor.org/stable/43343254.
  2. Pulgram, Ernst. “Spoken and Written Latin.” Language 26, no. 4 (1950): 458–66. https://doi.org/10.2307/410397.
  3. Dickey, Eleanor. “HOW TO SAY ‘PLEASE’ IN CLASSICAL LATIN.” The Classical Quarterly 62, no. 2 (2012): 731–48. http://www.jstor.org/stable/23470135.
  4. Politzer, Robert L. “The Interpretation of Correctness in Late Latin Texts.” Language 37, no. 2 (1961): 209–14. https://doi.org/10.2307/410849.
  5. Latin language, Britannica
  6. History of Latin, An irreverent but true chronology by Timothy J. Pulju.
  7. Articles Wikipédia : Duenos Inscription, Appendix Probi, Praeneste Fibula, Latin, History of Latin, Old Latin, Classical Latin, Late Latin, Vulgar Latin, Ecclesiastical Latin, Medieval Latin, Prüfening dedicatory inscription, Renaissance Latin, New Latin, Contemporary Latin

Merci à Arthur et à Chris pour la relecture !

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[…] un peu le fornix*, en grande partie car il n’existe pas qu’un seul latin (voir cet article à ce sujet). Pour résumer, le latin qu’on utilise en français aujourd’hui peut être […]

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