Les consonnes [2/2] : point d’articulation et voisement


C’est quoi, une consonne ? Dans l’article précédent, nous avons vu les deux paramètres principaux qui en déterminent la nature : le flux d’air et le mode d’articulation. Cependant il nous manque certaines réponses pour les comprendre à fond, notamment : qu’est-ce que le point d’articulation et le voisement ?

ℹ️  Cet article fait partie d’une série que j’ai écrite pour initier à la phonétique et à l’alphabet phonétique international. Si vous ne comprenez pas certains concepts que j’aborde ici, consultez ce lien pour en trouver le sommaire ! 

SOMMAIRE

  1. Précédemment sur Quantième Art…
  2. Inventaire des organes phonateurs et principes de base
  3. Le point d’articulation
    1. Point bilabial
    2. Point labio-dental
    3. Point linguo-labial
    4. Point dental
    5. Point alvéolaire
    6. Points post-alvéolaires
      1. Articulation alvéolo-palatale
      2. Articulation palato-alvéolaire
    7. Consonne rétroflexe
    8. Point palatal
    9. Point vélaire
    10. Point uvulaire
    11. Point pharyngal
      1. Articulation épiglottale
    12. Point glottal
  4. Le voisement
  5. La syntaxe de la description phonétique
  6. Conclusion

1. Précédemment sur Quantième Art…

Dans l’article précédent, nous avons vu qu’une consonne est un son du langage produit par la constriction d’un organe phonateur contre un autre et que sa nature peut changer en fonction des cavités de l’appareil phonateur où l’air circule (flux d’air) et de la manière dont on le manipule (mode d’articulation et écoulement de l’air).

Maintenant qu’on a fait le tour de ces notions, on sait comment on peut prononcer une consonne. Mais on ne sait pas encore . En effet, nos organes phonateurs offrent de nombreux « endroits » pouvant servir à la production d’une consonne : ce sont les points d’articulation. En combinant un mode d’articulation (en choisissant une ligne dans le tableau ci-dessous) à un point d’articulation (en choisissant une colonne), on obtient un type de consonne particulier.

Inventaire des 64 consonnes pulmoniques de base
Point d’art. →
Mode d’art. ↓
Bil. L.‑de. De. Al. Al.‑p. P.‑al. Ré. Pa. Vé. L.‑vé. Uv. Ph. Gl.
Occlusif p b t̪ d̪ t d ʈ ɖ c ɟ k g q ɢ ʔ
Nasal m n ɳ ɲ ŋ ɴ
Fricatif Central ɸ β f v θ ð s z ɕ ʑ ʃ ʒ ʂ ʐ ç ʝ x ɣ χ ʁ ħ ʕ h ɦ
Latéral ɬ ɮ
Roulé ʙ r ʀ
Battu ɾ ɽ
Spirant Central ʋ ɹ ɻ j ɰ w
Latéral l ɭ ʎ ʟ
Inventaire des 14 consonnes non pulmoniques de base
Point d’articulation →
Flux d’air ↓
Bil. Dent. Alv. Post-alv. Pal.-alv. Pal. Vél. Uv.
Injectif ɓ ɗ̪ ɗ ʄ ɠ ʛ
Éjectif
Clic Central ʘ ǀ ! ǂ
Latéral ǁ

(Cliquez ici pour afficher la version image des tableaux en cas de problème d’affichage.)

2. Inventaire des organes phonateurs et principes de base

Nos organes phonateurs sont les lèvres, les dents, la langue, le palais, la luette, le pharynx et le larynx. Ils peuvent être divisés en différentes « régions » offrant chacune un certain nombre de points d’articulation.

Schéma des points d'articulation des consonnes

Le point d’articulation est situé « en haut » de la bouche (dans le graphique ci-dessous, ce sont les points 1 à 10*). Il existe autre point, situé « en bas » de la bouche, qui va venir « rencontrer » le point d’articulation lors de la production d’une consonne : c’est le point constricteur (chiffres 12 à 18*).

* Les lèvres peuvent être à la fois le point d’articulation (lèvre supérieure) et le point constricteur (lèvre inférieure). Le point 11, la glotte, n’a pas de point constricteur.

Schéma des points d'articulation et des points constricteurs par rapport aux organes phonateurs
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11
Point d’articulation Bilabial Dental Alvéolaire Post-alvéolaire Palatal Vélaire Uvulaire Pharyngal Glottal
(1) (2) 12 13 14 15 16 17 18
Point constricteur Bilabial Épiglottal Dorsal Coronal
Postéro-dorsal Antéro-dorsal Laminal Apical Sublaminal

Il est important de comprendre la nature du point constricteur même si celui-ci est souvent dépendant de (et donc rendu évident par) le point d’articulation. Ce dernier est le plus discriminant, mais une consonne peut changer de nature en changeant seulement de point constricteur (voir la section §Point alvéolaire).

Pour rappel — La constriction définit le mode articulatoire. Il s’agit de la « pression » appliquée par le point constricteur sur le point d’articulation. Si les organes phonateurs n’entrent pas en contact, on a par exemple une consonne spirante (voire une voyelle). S’ils entrent en contact sans occlusion mais suffisamment pour créer une turbulence, on peut avoir une consonne fricative. Si la constriction est forte, on peut avoir une occlusion, donc une consonne occlusive.

Dans les titres des sections suivantes, les chiffres font respectivement référence au point constricteur et au point d’articulation utilisé par chaque consonne. Vous pouvez vous en référer au graphique ci-dessus (je l’ai remis plus bas aussi).


3. Le point d’articulation

Point bilabial (1→1 / 2→2)

Une consonne bilabiale fait entrer les deux lèvres en contact. Environ 12% des consonnes de notre « inventaire de base » sont bilabiales.

En français, on en a deux, qui sont P /p/ et B /b/. Toutes deux sont des consonnes occlusives. Rares sont les consonnes bilabiales qui ne soient pas occlusives dans les langues du monde ; on peut néanmoins compter la prononciation du B espagnol entre deux voyelles, qui constitue une consonne fricative bilabiale /β/.

Point labio-dental (2→3)

On entre ici dans la catégorie des consonnes coronales. Une consonne labio-dentale fait entrer en contact les incisives supérieures et la lèvre inférieure. C’est le cas de seulement 5% des consonnes de notre inventaire, cependant deux d’entre elles sont très répandues dans les langues du monde.

Le français les a puisque je parle du F /f/ et du V /v/. L’allemand connaît une consonne affriquée labio-dentale, qui est le son du PF comme dans “Pferd” /p͡feːɐ̯t/, « cheval ». Il n’en existe généralement pas d’autres dans les langues du monde, à part la consonne spirante labio-dentale [ʋ] qu’on produit en articulant faiblement le son du V.

Point linguo-labial (17/16→2)

C’est un point d’articulation qui fait se rencontrer la langue et la lèvre supérieure. Notre inventaire ne comprend aucune consonne labio-linguale car elles sont extrêmement rares.

Point dental (17/16→3)

Une consonne dentale est produite en faisant se rencontrer la pointe de la langue et les incisives supérieures. Elles constituent 6% de notre inventaire.

Le T et le D des langues romanes (portugais, espagnol, français, italien, roumain…) sont généralement laminaux dentaux /t̪ d̪/ (16-3) même si on les marque souvent /t d/ par simplification. Le Z /θ/ de l’espagnol standard d’Espagne, ainsi que le TH anglais (aussi bien dans “the” /ðə/ que dans “thing” /θɪŋ/ par exemple), produisent des consonnes fricatives dentales (17-3).

Point alvéolaire (17/16→4)

On articule une consonne alvéolaire quand la pointe de la langue (17, pour une consonne apicale) ou bien sa lame (16, consonne laminale) rencontre l’alvéole palatale (4). C’est la petite bosse au début du palais, non loin derrière les incisives.

Les consonnes alvéolaires ont pour particularité d’être compatibles avec tous les modes d’articulation – c’est pourquoi l’alvéole palatale est le point d’articulation le plus productif, à l’origine de 14% des consonnes de notre inventaire. Elles peuvent toutefois être difficiles à distinguer des consonnes dentales quand elles sont occlusives.

Schéma des points d'articulation et des points constricteurs par rapport aux organes phonateurs

Je disais ci-dessus que le T et le D romans étaient généralement laminaux dentaux /t̪ d̪/ (16-3) ; dans les langues germaniques comme l’anglais ou l’allemand, ils sont plutôt laminaux alvéolaires /t d/ (16-4). La différence est subtile, toutefois elle peut jouer sur notre accent dans une langue étrangère.

Le basque fait la distinction entre une consonne fricative laminale alvéolaire (16-4), le son de sa lettre Z /s̻/, et une consonne fricative apicale alvéolaire (17-4), le son de sa lettre S /s̺/. C’est un cas où seul le point constricteur fait la différence entre deux consonnes différentes.

Points post-alvéolaires

Les points d’articulation post-alvéolaires se situent immédiatement après l’alvéole, mais la différence avec un son alvéolaire est très audible.

Articulation alvéolo-palatale (17/16→5 + 15→6)

Schéma de l'articulation d'une consonne alvéolo-palatale
16→5 + 15→6

Les consonnes alvéolo-palatales, comme leur nom l’indique, possèdent une double articulation. Elles sont produites comme les consonnes alvéolaires, mais le dos de la langue a aussi son rôle à jouer puisqu’il se rapproche également du palais. Ce sont juste deux consonnes de notre inventaire, mais on y ajoute parfois des nasales, et on peut y ajouter les affriquées*.

* Pour rappel, j’ai exclu ces dernières de l’inventaire car elles découlent de l’association d’une consonne occlusive et d’une consonne fricative.

Il n’en existe pas en français. Pour en trouver, il faut par exemple s’intéresser aux langues slaves. Le polonais dispose de consonnes fricatives alvéolo-palatales, mais aussi d’une affriquée comme dans “dźwięk” /d͡ʑvjɛ̃ŋk/, « son ».

Articulation palato-alvéolaire (17/16→5 + 15→7)

Schéma de l'articulation d'une consonne palato-alvéolaire
16→5 + 15→7

Une consonne palato-alvéolaire connaît aussi une double articulation, mais le deuxième point impliqué est plus loin sur le palais. Là aussi, il n’y a que deux consonnes de ce type dans notre inventaire.

Le français les connaît puisque ce sont les sons du CH /ʃ/ et du J /ʒ/. Le CH anglais et espagnol /t͡ʃ/ est une consonne affriquée palato-alvéolaire.

Consonne rétroflexe (17→6)

Chez une consonne rétroflexe, la langue est recourbée de sorte que la pointe de la langue se rapproche du palais assez loin derrière les dents. Elles forment 10% de notre inventaire.

Il n’en existe pas en français. On peut par exemple en trouver en suédois, dans “nord” /nuːɖ/ (« nord »), ou bien en mandarin, dans 人 /ʐən³⁵/ (“rén”, « personne »).

Point palatal (15→7)

Les consonnes palatales sont les premières consonnes dorsales en partant du devant de la bouche. On produit une consonne palatale avec le dos de la langue pressé contre le palais dur (la partie la plus étendue du palais). Elles constituent 9% de notre inventaire.

Le français ne dispose pas de palatales. Le CH allemand dans “ich” /ɪç/ est une consonne fricative palatale. Dans certains dialectes espagnols, le Y peut être une telle consonne (dans “yo” par exemple, qui peut donner [ʝo] ou [ço] selon les dialectes). L’albanais, notamment, a des consonnes occlusives palatales, comme dans “gjashtë” /ɟaʃt(ə)/ (« six »).

Point vélaire (14→8)

Une consonne vélaire a l’arrière du palais (le palais mou, ou voile du palais) pour point d’articulation. 9% des consonnes de notre inventaire sont vélaires.

Le français en connaît deux, le K /k/ et le G /g/, qui sont des consonnes occlusives. Il en existe des variétés fricatives, comme le J espagnol dans “Javier” /xaˈbjeɾ/ ou le G espagnol dans “haga” [ˈaɣa].

Schéma des points d'articulation et des points constricteurs par rapport aux organes phonateurs

Point uvulaire (14→9)

Une consonne uvulaire fait se rencontrer le dos de la langue et la luette. 8% de notre inventaire est uvulaire.

Le français en connaît une : le son de notre lettre R. Celle-ci connaît différentes variantes puisqu’elle peut être roulée /ʀ/, fricative /ʁ/ voire spirante [ɰ̠] (voir mon article « Histoire, prononciation, évolution : tout sur le R français »). Cette consonne est généralement la même en allemand, en suédois méridional, et norvégien et en danois.

L’arabe connaît une très rare consonne occlusive uvulaire, comme dans وَقَفَ /wa.qa.fa/ (“waqafa”, « s’arrêter »).

Point pharyngal (13→10)

On entre ici dans la quatrième et dernière catégorie de points d’articulation : les consonnes radicales et glottales. Ces consonnes gutturales (prononcées dans la gorge) n’impliquent ni les lèvres ni la langue. Les consonnes pharyngales en sont un exemple (notre inventaire n’en compte que deux).

L’arabe, en revanche, les connaît toutes les deux : pour exemples, la première dans نَحْنُ /naħ.nu/ (“naḥnu”, « nous ») et la seconde dans نَعَمْ /na.ʕam/ (“naʿam”, « oui »).

Articulation épiglottale (12→10)

Je ne compte aucune consonne épiglottale dans l’inventaire de base, car elles sont extrêmement rares. On remarquera que c’est le point constricteur qui change par rapport à une consonne pharyngale, et non le point d’articulation. Elles sont parfois attestées comme variations de consonnes pharyngales dans certains dialectes arabes.

Point glottal (11)

Une consonne glottale n’a pas de point constricteur. En effet, elle est produite directement au niveau de la glotte, où se trouvent les cordes vocales. Cet endroit n’est pas très « articulable ». Notre inventaire compte trois consonnes glottales.

Dans de nombreuses langues comme l’anglais ou l’allemand, le H produit une consonne fricative glottale /h/. Il existe une consonne occlusive glottale [ʔ], aussi appelée « coup de glotte », qu’on retrouve parfois en français à l’initiale d’interjections comme « ah ! ».


4. Le voisement

Associer un mode d’articulation à un point d’articulation ne nous permet pas de remplir tout à fait notre inventaire de base. Si l’on s’en tenait là, on ne pourrait par exemple pas distinguer [p] de [b] (deux consonnes occlusives bilabiales) ni [f] de [v] (des consonnes fricatives labio-dentales), ni le TH anglais dans “thing” /θ/ de celui dans “the” /ð/ (des consonnes fricatives dentales).

Pourquoi presque toutes les consonnes occlusives et fricatives sont-elles en double ? Qu’est-ce qui les distingue l’un de l’autre ?

Inventaire des 64 consonnes pulmoniques de base
Point d’art. →
Mode d’art. ↓
Bil. L.‑de. De. Al. Al.‑p. P.‑al. Ré. Pa. Vé. L.‑vé. Uv. Ph. Gl.
Occlusif p b t̪ d̪ t d ʈ ɖ c ɟ k g q ɢ ʔ
Nasal m n ɳ ɲ ŋ ɴ
Fricatif Central ɸ β f v θ ð s z ɕ ʑ ʃ ʒ ʂ ʐ ç ʝ x ɣ χ ʁ ħ ʕ h ɦ
Latéral ɬ ɮ
Roulé ʙ r ʀ
Battu ɾ ɽ
Spirant Central ʋ ɹ ɻ j ɰ w
Latéral l ɭ ʎ ʟ

(Cliquez ici pour afficher la version image des tableaux en cas de problème d’affichage.)

En fait, de nombreuses consonnes peuvent être produites avec ou sans la vibration des cordes vocales. Sans, elles sont dites « sourdes » (c’est la consonne de gauche dans chaque cellule) ; avec, elles sont dites « voisées » (c’est la consonne de droite). Une consonne sourde sonnera « dure » tandis qu’une consonne voisée sera plus douce.

Schéma du voisement

Partant de là, on peut donner l’intitulé complet de toutes nos consonnes. Pour ce faire, il faut d’abord se familiariser avec :

5. La syntaxe de la description phonétique

On donne les caractéristiques d’une consonne dans un ordre fixe.

  1. D’abord, la nature du segment (ici : « consonne ») ;
  2. ensuite, son mode d’articulation (« occlusive », « fricative » etc.) ;
  3. l’écoulement de l’air (seulement s’il est latéral : les consonnes sont très souvent centrales, donc on ne le précise pas quand c’est le cas) ;
  4. le flux d’air (seulement s’il n’est pas pulmonique : la majorité des consonnes étant pulmoniques, on ne le précise pas si c’est le cas) ;
  5. son point d’articulation (« dentale », « vélaire » etc.) ;
  6. son voisement (« voisée » ou « sourde ») ;
  7. puis (s’il y en a un), l’ingrédient secret.

On peut donc dire que :

  • /p/ est une consonne occlusive bilabiale sourde ;
  • /b/ est une consonne occlusive bilabiale voisée ;
  • /f/ est une consonne fricative labio-dentale sourde ;
  • /v/ est une consonne fricative labio-dentale voisée ;
  • le TH anglais dans “thing” /θ/ est une consonne fricative dentale sourde ;
  • le TH anglais dans “the” /ð/ est une consonne fricative dentale voisée ;
  • etc.

Bien sûr, cela marche dans les deux sens : avec l’habitude, on peut savoir, en entendant parler par exemple d’une « consonne fricative latérale éjective alvéolaire sourde », qu’il s’agit du son /ɬʼ/ qu’on trouve par exemple dans le mot adyguéen лӀы (“ḷə”), « homme ».


6. Conclusion

Une consonne, en résumé, c’est quoi ?

C’est un son du langage produit par la constriction d’un organe phonateur contre un autre dont la nature peut changer en fonction des cavités de l’appareil phonateur où l’air circule (flux d’air), de la manière dont on le manipule (mode d’articulation et écoulement de l’air), des endroits où il est articulé (point d’articulation et point constricteur), et de si il est produit avec ou sans vibration des cordes vocales (voisement).

C’est en tout cas une manière exhaustive d’expliquer comment fonctionnent plus de 90% des consonnes des langues européennes. Il y a en effet toujours plus à apprendre, mais j’ai essayé de faire en sorte que ces articles vous donnent de solides connaissances et vous évitent toutes sortes de pièges et d’idées reçues. De plus, les articles suivants de cette série vous en diront davantage sur ces 10% restants.

En espérant que vous puissiez maintenant briller en société, je vous remercie de votre lecture et vous rappelle que l’espace commentaires est ouvert en cas de doute ou de question ! Si vous voulez poursuivre la découverte de l’alphabet phonétique, la suite est ici !

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[…] tout est normal. Ces questions sont répondues dans le second article. Si cependant vous avez la moindre question, l’espace commentaires vous est ouvert. Merci […]

[…] savoir plus, lisez donc mes articles Les consonnes [1/2] : flux d’air et mode d’articulation et Les consonnes [2/2] : point d’articulation et voisement […]

[…] Point linguo-labial […]

[…] Le point d’articulation […]

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