Hebdo – semaine 46, 2015


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Lundi

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 La Planète des singes : les origines

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Une belle image au service d’un film tout particulièrement émouvant qui fait pourtant l’ « apologie » de l’hégémonie simiesque au cinéma et donc de l’annihiliation humaine. Un beau paradoxe qui est globalement bien géré avec la représentation de l’augmentation de l’intelligence des singes, qui ne jure pas avec ce qu’on attend de la crédibilité du film même si les faire parler soit aller trop loin. Une erreur facilement excusée par le fait que l’oeuvre se place en préquelle des autres films sur la Planète des singes.


Mardi

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 La Nuit au musée : le Secret des pharaons

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Le film commet heureusement à peine l’erreur d’être plus dépourvu de sens encore que le deuxième opus. Il la commet, mais en perpétuant toutefois l’ambiance de l’original, l’agrémentant de gags modernes tantôt caricaturaux, tantôt fidèles qui ne sont pas désagréables. Dommage que pour en être témoin, il faille subir l’agitation excessive de l’histoire et des effets spéciaux qui ne sont mis là que pour faire mieux qu’avant. Souvent bavard pour boucher les trous entre les scènes, il reste un bon divertissement dont la bêtise, à ce stade, ne peut plus être excusée par l’originalité.


Mercredi

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 Carrie 2 : la haine

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Bien mené dans son ambiance ambiguë, doucement oppressante, ce film a réussi à se mettre dans la lignée du film original en adoptant une toute autre façon de filmer. Une façon de tourner dans l’air du temps, qui par définition tranche avec l’original, mais sans jurer. Il est fâcheux que le personnage de la mère, qui n’est pas le même dans les deux films, soit présenté dans la version moderne comme « folle » de la même façon exactement. Une grossière bavure du scénario, comme celle qui veut que la fin du bal du Diable soit copiée. Alors que ce film se prétendait une suite, ce qu’il cache habilement et assume parfaitement dans un premier temps, ce parallèle vulgaire le rabaisse au rang de remake raté. Un bon point néanmoins pour le cadrage et aussi la musique qui est toujours à-propos.


 

Jeudi

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Maria Chapdelaine

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Bien que réussi dans sa fidélité au film d’origine, celui-ci n’en demeure pas moins une copie, et tout a beau être reproduit parfaitement et probablement dans un but comparable, il ne peut pas rejoindre son ancêtre dans l’intérêt qu’il éveille. Et surtout pas avec une post-synchronisation aussi mauvaise qui ne fait pas honneur aux acteurs déjà médiocres.


 

Vendredi

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 Les Larmes amères de Petra von Kant

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Une pièce de théâtre filmée de la plus grande originalité, puisque seulement quatre actes la composent, et bien qu’elle soit tournée avec la vision étrangement triste de Fassbinder, il est indéniablement artistique dans ses cadrages très simples et originaux dans leur même simplicité. Le jeu des acteurs est ennuyeux au plus haut point mais ils ont aussi le mérite de leur interprétation du dialogue, tellement long qu’il passe pour deux ou trois monologues opposés. Le tout est assez paradoxal mais il est facile de se dire que l’oeuvre dérange car elle ne ressemble juste à rien. Pas distrayant mais captivant malgré tout.


 

Samedi

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 Show Boat

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Ce film répond très bien aux attentes de ceux qui aiment les œuvres musicales des années 1950, avec des chansons quasiment sans intermittence et d’une qualité correcte qui ne marchent pas sur les plates-bandes de l’histoire qui reste, elle aussi, tout à fait élaborée. Il est également très important de savoir l’anecdote à propos de la couleur, qui est d’origine, ce qui était singulier en 1951. Attention cependant, le scénario déborde un peu trop d’eau de rose !


 

Dimanche

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