Hebdo – semaine 18, 2015


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Lundi

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 Chacun sa Chance

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Un des premiers films muets français, qui exploite pourtant excellemment cette nouvelle ressource, comme si le réalisateur et les acteurs connaissaient déjà la technique, tant ces derniers sont à l’aise. On trouve du coup une drôle d’ « opérette filmée », comme le dit si bien le générique, où les jeux sur les mots rivalisent en quantité et en médiocrité : il est évident que le côté « parlant » du film doit être utilisé au maximum, et tant pis si la qualité en pâtit. Autre chose étonnante : alors que les films muets étaient plutôt des œuvres d’art où la difficulté résidait dans la technique, on retrouve dans Chacun sa Chance un aspect complètement dédié au divertissement, et où la seule technique est justement le parlant. Intéressant, en plus d’être instructif sur les débuts de Jean Gabin.

Mardi

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 La Nuit au musée

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Un film où il faut pas être trop regardant du scénario qui crisperait les plus bornés des spectateurs. Mais si on peut faire abstraction du fait que c’est un film pour enfants, on peut se distraire de manière tout à fait satisfaisante pendant 108 minutes, absorbé par l’ambiance assez unique qu’offre le musée. Du point de vue artistique, il ne faut pas non plus oublier que les effets spéciaux sont foisonnants et interagissent entre eux, et qu’il faut une bonne maîtrise de la technique pour ne pas décevoir l’œil. Un film donc typiquement dans le cadre de l’expression « pour les enfants de 7 à 77 ans ».

Mercredi

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 Dommage Collatéral

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Difficile d’appeler ce film un « Schwarzenegger basique » car, bien qu’au niveau de l’action, tout soit bien dans le chemin américain, le héros est dépeint comme un vrai monstre, dépourvu de toute vertu de justice, et qui ne cherche qu’à se venger. Plus que de suggérer l’antagonisme très flou entre le bien et le mal, ce film le met complètement en scène d’une façon tout à fait dérangeante. Extrêmement compliqué d’y voir un happy end : il y a plutôt un happy beginning, qui fait d’ailleurs très déplacé une fois que le film est fini : on dirait presque que l’illusion de départ n’était qu’un prétexte dont la mise en scène importait peu. Très réussi si c’est son but, mais qui rend tout de même perplexe. Comme quoi, les stéréotypes ont leurs bons côtés.

Jeudi

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 Dr. Jekyll and Mr. Hyde

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Dans le filon déjà prometteur des deux messieurs, ce film exploite la technique à la perfection : bien que le parlant commence tout juste à éclore, l’enregistrement sonore est exemplaire, et les effets visuels ont dû troubler plus d’un spectateur de l’époque et de maintenant (surtout avec le fameux coup du faux miroir au tout début du film). Au milieu d’excellents acteurs camouflés par l’art alors flou de jouer, l’angoisse que procure le monstre est réelle : ce devait probablement être un véritable film d’horreur et de grand spectacle l’année de sa sortie. Et 80 ans plus tard, on retrouve une perle.

Vendredi

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Samedi


pasdefilm

Dimanche


pasdefilmEt après non plus...
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